Une étude récente menée par l’Atelier parisien d’urbanisme met en avant les avancées positives en matière de réduction des embouteillages sur le périphérique parisien. Depuis que la vitesse maximale a été abaissée à 50 km/h à partir du 1er octobre 2024 tandis que le taux de congestion a baissé de 20 %. En plus de ces succès, les nuisances sonores ont également été réduites pendant la nuit. Ces mesures, complétées par des projets de voies réservées au covoiturage et aux transports collectifs après les Jeux Olympiques, illustrent les efforts continus pour gérer efficacement la congestion urbaine à Paris.
Réduction des incidents routiers
L’abaissement de la vitesse a favorisé une réduction des accidents de la route de 19%. Cette diminution est cruciale dans un environnement urbain dense tel que Paris, où la sécurité routière est une priorité. Le faible nombre d’accidents s’explique par une meilleure anticipation des dangers potentiels par les conducteurs ainsi qu’une vigilance accrue due à des vitesses moins élevées. Ces résultats ont été salués par L’Atelier parisien d’urbanisme qui voit en ce changement une avancée considérable pour la sécurité urbaine Voir l’étude.
Effets sur la qualité de vie des riverains
Le passage à 50 km/h a également eu un impact positif sur l’environnement sonore, bien que les études indiquent une diminution sonore modérée. Cependant, la réduction du bruit nocturne est notable, apportant un bénéfice significatif aux habitants proches du périphérique. De plus, l’amélioration de la qualité de l’air grâce à une moindre congestion et une fluidité retrouvée de la circulation sont des aspects non négligeables qui améliorent la qualité de vie des résidents parisiens. Pour en savoir plus sur les arguments avancés, consultez cette source.